De: SHEMA <shimamungu@gmail.
com>
Objet: Re: [rwandanet] RE :
Re: *DHR* Assassinats de 73-79: LIZINDE accuse
HABYARIMANA J., KAVARUGANDA Joseph et HABIMANA Bonaventure
À: rwandanet@yahoogrou
ps.com
Cc: Democracy_Human_ Rights@yahoogrou pes.fr
Date: Dimanche 27 Juillet 2008, 16h28
Ngarambe
Iyo uvuga ko ibikubiye muri
iriya nyandiko yitirirwa Lizinde, "abanyarwanda benshi bazi ko hafi
ya byose ari ukuri", abo banyarwanda benshi uvuga yenda
bashobora kuba ari babiri (wowe n'uwashyize inyandiko kuri murandasi, kubera ko murenze
umwe!) naho ubundi wiboneye hano kuri uru
rubuga ko ndetse hari ni ikibazo ko iyo
nyandiko ishobora kuba atari iya Lizinde.
Si ukuvuga rero ko niba abo
banyarwanda wita benshi bayifata nk'aho ari ukuri,
bishobora nabyo atari ukuri. Kuyemera
ko ari ukuri
ntabwo aribyo biyigira ukuri! Ahangaha uritiranya "la
vérité" et la "propagande", kuvuga ko ikintu ari
ukuri sibyo bikigira ukuri!
Naho ibindi bivugwa na Christophe Mfizi wagirango niho wasoma inyandiko yanditse? Ni nyinshi cyane! Inama nakugira
ni ugukusanya inyandiko zose yanditse kuri
Habyarimana, urasanga ibyo avuga muri iyo
nyandiko ye yanyuma yararangije kubikuba na zeru! Reka nkwereke ibintu
Mfizi yanditse muri 1987 Habyarimana akora
anniversaire ye y'imyaka 50
(extrait de l'article sur le 50ème anniversaire du Président Habyarimana, écrit
pour le film de Romain Baertsoen Rwanda rwiza:
Rassembleur
d'hommes, c'est au milieu de ses compatriotes que le Président se sent le plus
à l'aise. Non pas tant comme un chef militaire qui, du haut d'un podium, voit
défiler la troupe, mais comme un animateur qui met les hommes au travail. Il
est parmi eux à l'animation pour chanter non sa propre personne mais leurs
réalisations et leurs ambitions. Il est parmi eux aux Travaux Communautaires de
développement- Umuganda. Il est parmi eux dans les
débats publics où se pratique la démocratie responsable.
Homme
d'équilibre, de dialogue, de paix, patient avec ses adversaires, fidèle à ses
amitiés, il cultive le respect de la vie humaine, et s'attèle
à faire passer cette option dans sa pratique politique en fondant celle-ci sur
l'Etat de droit.
Décontracté,
il vous serre la main, vous regarde dans les yeux, vous appelle par votre nom,
cherchant manifestement à communiquer. Ce désir de communiquer, d'être parmi
son peuple, fonde et entretient une popularité réellement ressentie dans tous
les milieux des nationaux ou des expatriés. Cette chaleur discrète dans les
relations humaines, il la partage avec sa famille, et naturellement avec son
épouse qui a passé son prénom à l'orphelinat Ste Agathe qu'elle a fondé et
qu'elle soutient fortement.
La plus
grande innovation qu'a apporté le Président Habyarimana, c'est
incontestablement d'inculquer aux Rwandais que c'est par leur travail, quel
qu'il soit, que chacun, dans sa dignité, améliorera sa condition et que la
nation entière enregistrera des succès éclatants.
Ibindi nakugira inama yo gusoma
ni igihe Philbert Ransoni yandika kuri Habyarimana muri Kinyamateka ati "Gusingiza Perezida wa repubulika ni ukumuroha". Uzi ibyo Mfizi yamushubije
yaramaubwiye ngo "Nzamwambaza rirenge". Fata igitabo cyitwa
"Les lignes de faîte du Rwanda indépendant" (niba
utagifite uzambwire nkigutize, dore ko wagirango abanyarwanda murwaye indwara yo kutibuka!). Cyanditswe ryari? Fora! Ni mu
w'1983. Nyuma y'iburanishwa
rya Lizinde na bagenzi be! Igiteye
impungenge ni uko Mfizi ntacyo avuga
kuri iyo coup d'état, cg iburanishwa rya Lizinde muri icyo
gitabo. Urasanga n'ibyo avuga bya
"réseau zéro" mu nyandiko ze zanyuma nta
byigeze bibaho. None uzemera ibihe ureke
ibihe???
Eugène Shimamungu
Le
26 juillet 2008 10:51, Ngarambe Joseph<jngarambe2000@ yahoo.fr> a écrit :
Uragira uti :
« Dusubire ku byo
twahereyeho. Mu gihe nta gihamya ihari
ko iriya nyandiko ari iya
Lizinde, cyane cyane urebye n'ukuntu yanditse, byerekana ko nta gaciro ifite
ku byo yavugaga. »
(Shimamungu)
Igisubizo :
Ibivugwa muri iriya nyandiko,
Abanyarwanda benshi bazi ko hafi
ya byose ari ukuri. Ikindi
kandi, hari ibimenyetso bitari bike bigaragaza ko na Habyarimana ubwe yari azi
neza ko ikinyoma
cye kitafashe, ko amaherezo azabibazwa.
Ese hari uyobewe ubwoba yaterwaga n'Inama Rukokoma ?
Muri ibyo
bimenyetso byerekana ko yahoranaga umutima
uhagaze, duhere kuri iyi myifatire
ye n'akazu ke mu rubanza rwa
Lizinde, nkuko tubitekererezwa na Christophe Mfizi
wari uhibereye.
Arabivuga mu nyandiko yiswe : « LE RESEAU ZERO (B): Fossoyeur de la
Démocratie et de la République au Rwanda (1975-1994) ».
Agapande rero k'iyo nyandiko,
ushobora gusoma kuri Internet, karagaragaza ikidodo n'ubutiriganya bw'akazu muri urwo
rubanza rwa Lizinde, aho kacicikanaga
ngo kanyonge ukuri kw'iyicwa ry'abanyapolitiki ba Republika yambere. Katibagiwe ndetse no gukayirana abacuruzi bo mu Nduga kahimbiraga
ubufatanyacyaha :
« 3.1.
P. ZIGIRANYIRAZO, PROCUREUR ET JUGE DANS L'AFFAIRE LIZINDE.
« Monsieur le
Président, je ne dirai rien tant que vous n'aurez pas convoqué ici Habyarimana
et son beau-frère Protais Zigiranyirazo, car
c'est à cause de leurs manœuvres que je me trouve devant ce Tribunal ».
Ainsi le Major Théoneste Lizinde commença-t-il
sa comparution devant la Cour de Sûreté de l'Etat, à Ruhengeri,
en 1981. Des deux mains menottées par devant, il avait agrippé le micro pour
faire sa déclaration. Il fallut le bousculer manu militari pour le faire lâcher
prise, interrompre l'identification du prévenu et l'évacuer sans ménagement.
Comme ce prisonnier spécial était aussi redouté que détesté par beaucoup, le
public agglutiné autour du Tribunal de Première Instance de Ruhengeri
a pris sa déclaration pour une fanfaronnade provocatrice à l'égard du Chef de
l'Etat.. La suite montrera
à l'observateur combien, sur le terrain, Protais Zigiranyirazo
et, à partir de Kigali, le Président Habyarimana avaient,
en effet, la haute main sur le déroulement et l'issue du procès.
Sans me prononcer ici sur le fond de l'affaire Lizinde
et Kanyarengwe, deux phénomènes m'ont
interpellé au cours de ce procès à huis clos auquel j'avais été appelé à
assister : la manipulation des exécutants
instrumentalisé s et l'ingérence de P. Zigiranyirazo
dans le déroulement des procès.
3.1.1.
La politique dans le procès
D'après les déclarations
des prévenus, il parut clair que le Major Lizinde
avait mis au point une stratégie rigide consistant à confier telle mission à un
acteur de son groupe sans que celui-ci en maîtrisât le lien avec telle autre
mission confiée à tel autre intervenant tout aussi laissé dans l'ignorance que
le premier. Lizinde semblait tirer seul toutes les
ficelles. De la même manière, il avait d'ailleurs
ordonné à tous les co-détenus, à travers un réseau de communication savamment
codé, de plaider non coupables et de lui laisser le soin de tout expliquer.
Presque tous se laissèrent prendre à ce piège. Y compris un Donat Murego, Conseiller du Président pour les Affaires
Administratives et Politiques, à l'époque réputé connaisseur du droit et
débateur redoutable.
Cette
stratégie de manipulation et d'instrumentalisation diaboliques de ses
compagnons orchestrée par Lizinde fit école par la
suite parmi ses tombeurs, adeptes du Réseau zéro. On sera
encore à l'œuvre lors des massacres préliminaires au génocide et au cours des
manœuvres politiques de gestion de la guerre et des négociations d'Arusha. Des acteurs de seconde main étaient lancés dans l'arène
pendant que quelques initiés, tapis dans l'ombre, tiraient les ficelles en vue
d'atteindre des objectifs inavoués. Il convient d'avoir toujours à
l'esprit le pouvoir de contrainte que cette stratégie exerçait sur des acteurs,
je le redis,
« sous influence ».
Protais Zigiranyirazo et Joseph Habiyambere,
successeur de Lizinde à la direction du Service
Central de Renseignement se sont énergiquement appliqués à charger certains
prévenus contre lesquels ne pesait aucune présomption sérieuse autre que des
rumeurs. En particulier des hommes d'affaires du Sud,
accusés d'avoir fait creuser des fosses à des fins
criminelles. Remarquons en passant que ce
genre d'accusation de fosses creusées à des fins criminelles - véritable
psychose parmi les Rwandais comme les crimes sadiques parfois imaginaires -, a
proliféré aussi pour justifier agressions, interpellations voire éliminations
de nombreux citoyens dans les années 1959-1963, 1972-1973 et, davantage encore,
dans les sombres années 1990-1996. Le tandem Zigiranyirazo/
Habiyambere pourvoyait l'instruction d'éléments à
charge, décrétés comme des dogmes que le Juge n'aurait plus qu'à reprendre dans
sa sentence. Et avant le jugement, l'opinion publique devait, selon ce duo
autoritaire, s'imprégner de ces dogmes.
C'est que cette démarche correspondait
à une préoccupation d'ordre politique. En effet, ce procès pouvait provoquer
des ressentiments convergents contre le régime du Président Habyarimana. D'une part, le Sud, non encore remis de la mort suspecte,
après le Coup d'Etat du 5 juillet 1973, du Président Grégoire
Kayibanda et de nombreux
politiciens exterminés en prison, pouvait s'émouvoir de ce qu'on revînt frapper
cette fois-ci ses hommes d'affaires. D'autre part, le Nord voyait « ces gens du
Bushiru » s'en prendre aux gens issus des régions
naturelles historiques et puissantes à savoir : Alexis Kanyarengwe
du Bukonya (Ruhengeri), le
Major Jacques Maniraguha du Buhoma
(Ruhengeri), le Major Lizinde
et le Commandant Biseruka du Bugoyi
(Gisenyi). Les ressortissants de ces dernières
régions (auxquelles il sied d'ajouter le Mulera) ont
toujours tenu ceux de la région naturelle du Bushiru
(dont sont originaires le Président Habyarimana et autres Zigiranyirazo)
pour des rustres, juste bons à vendre dans ces régions voisines, leur force de
travail agricole contre quelques grains de maïs. Il fallait
donc prévenir ces ressentiments en diffusant largement les allégations de
l'accusation contre ces personnalités bien enracinées dans leurs terroirs
respectifs. Sans doute était-ce à cette fin que l'on
m'avait enjoint d'aller couvrir personnellement l'événement. On était certain
que ce serait techniquement bien fait, ayant fait mes preuves en rapportant,
depuis plus de cinq ans déjà, les travaux du Conseil du Gouvernement et du
Comité Central du MRND. De plus, originaire du
Kingogo (autre région historique de Gisenyi), je joindrais ma parole à celle de l'accusateur
principal, Joseph Habiyambere, originaire du Kanage (quatrième région naturelle de Gisenyi,
mais marginale). On aurait eu donc derrière le Bushiru
(région du Président), le Kingogo et le Kanage contre le Bugoyi (région
de Lizinde). L'affaire n'en aurait paru que plus
crédible, plus légitime. Au nom d'une vision unitariste de son Histoire,
plusieurs études sur le Rwanda se privent d'analyses fines en négligeant ce
microcosme anthropologique. Les régions naturelles ont toujours constitué, en
effet, des espaces culturels et économiques qui ont façonné profondément des
sensibilités identitaires, des solidarités et des clivages politiques bien plus
que ne le feront territoires, préfectures, communes, et même la distinction
fluide 'Kiga/Nduga',
abusivement matérialisée en Nord/Sud.
3.1.2.
L'acharnement contre les innocents.
Quoi qu'il en fût, en me communiquant
l'ordre du Président d'aller à Ruhengeri, le Major
Elie Sagatwa ne m'avait fait part d'aucune instruction
particulière. Or rapporter une séance du tribunal obéit à des critères
différents de ceux qui pouvaient inspirer le tandem Zigiranyirazo/
Habiyambere. Parmi ces critères, l'honnêteté - pour
ne pas dire l'objectivité -, la sérénité et la réserve, car étaient en jeu
d'une part, la dignité et la vie des prévenus et, de l'autre, la crédibilité du
gouvernement. Dans cet esprit, je devais garantir la qualité professionnelle
des reportages. A cette fin, je m'étais adjoint un
journaliste de Radio Rwanda, Anastase Nzabilinda,
unanimement respecté par ses collègues pour sa compétence, sa sérénité et sa
prudence. Protais Zigiranyirazo se déchaîna
littéralement contre
la présence de Nzabilinda. Il m'enjoignit de le renvoyer à Kigali. Pourquoi ? Parce que, selon
le préfet, il était 'munyanduga' (originaire du Sud)
et sans doute (sic !) tutsi. Nzabilinda était, en
effet, originaire de Gitarama. Mais son dossier
administratif affichait qu'il était hutu, bien que, comme beaucoup d'autres
hutu – y compris Zigiranyirazo lui-même d'ailleurs -
il fût 'tutsiforme'. A mon insu, on avait dépêché, pour le remplacer, un autre
journaliste plutôt, sous tous rapports, quelconque. J'ai refusé le départ
d'Anastase Nzabilinda, ordonné à l'intrus de regagner
Kigali sous peine de sanctions. Nzabilinda
m'exprima son appréhension de se trouver au milieu de cette querelle et
souhaita s'en aller. Je le rassurai que nous travaillerions ensemble et que
j'assumerais seul la responsabilité politique de ses reportages. Mais ne
voilà-t-il pas que P. Zigiranyirazo s'avisa de
contrôler les textes que nous préparions en nous dictant des phrases, des noms
de prévenus déjà, selon lui, indubitablement coupables ! Nous
avions préféré, quant à nous, utiliser systématiquement le conditionnel pour rapporter l'acte d'accusation
: « un tel aurait fait ceci ou cela ». Cette
formulation mit en émoi Protais Zigiranyirazo secondé par Joseph Habiyambere.
En plus de sous-entendre qu'il traduisait le
point de vue du Président de la République, P. Zigiranyirazo alléguait que,
Préfet de Ruhengeri, il était responsable de la
sécurité de la population et qu'il devait s'assurer qu'aucune parole ne
vînt troubler l'ordre public. Pour mettre en exergue cette
notion d'ordre public et exercer sur moi, de surcroît, une pression
psychologique supplémentaire, il s'était assuré la présence de mon beau-frère,
le Major Charles Uwihoreye, alors Commandant de
l'Ecole Nationale de Gendarmerie. Je tins bon cependant et rétorquai que notre
reportage dépassait les frontières de sa juridiction et que j'en assumais la
responsabilité nationale. Néanmoins, je jouai la
transparence, laissant le Préfet lire par-dessus l'épaule les textes que Nzabilinda et moi-même préparions. Je devenais
manifestement un élément gênant. On décida donc que je n'assisterais pas
à la comparution de Théoneste Lizinde
et de Donat Murego. On tint secrète la
date décisive de cette séance. Le jour venu,
on me fit savoir que le Président de la République voulait me voir en audience
à Kigali à la première heure. De la
sorte, on espérait, enfin de journée, contraindre sinon remplacer le
journaliste pour le reportage de cette séance nodale. Flairant un coup monté, j'enjoignis à mon collaborateur,
avant mon départ pour Kigali, de s'en tenir à la ligne rédactionnelle convenue,
de ne pas 'envoyer son papier avant mon retour et, si je ne revenais pas, de
s'en remettre uniquement à l'arbitrage du Directeur de
la Radio.
Le Président de la
République me reçut en fin de
matinée. Il me reprocha abruptement trois choses : avoir donné le micro au Major Lizinde
pour qu'il fît « son numéro »
; avoir refusé de collaborer avec la Cour de Sûreté de l'Etat et le
préfet ; avoir fait diffuser des informations contraires aux
conclusions des
enquêtes, semant ainsi la confusion dans la population.
Il avait repris presque mot pour mot ce que
P. Zigiranyirazo et J. Habiyambere
m'avaient reproché à Ruhengeri. Ces accusations, à
peu de choses près, rejoignaient, tout au moins dans l'esprit, la qualification
d'atteinte à la sûreté de l'Etat telle que
définie par le code pénal rwandais. Surmontant cette menace, j'ai
expliqué au Chef de l'Etat l'intérêt pour lui-même, pour son gouvernement et
pour la population de respecter la procédure : le Ministère public soumet à
l'examen de la Cour des présomptions ; le prévenu est réputé innocent.
D'où l'usage du conditionnel, forme qui deviendrait affirmative selon la
sentence. S'imaginait-il ce qui se passerait si d'aventure la Cour de Sûreté de
l'Etat déclarait innocentes les personnes dont nous aurions annoncé sans autres
précautions qu'elles étaient coupables ! Pour finir,
j'ai prié le Président de me préciser s'il souhaitait que je retourne à Ruhengeri et que je continue de travailler de cette façon
là. Une manière de question de confiance. A son accord, je lui ai demandé
de faire cesser la pression, l'ingérence et les menaces à peine
voilées que le Préfet et le Directeur du Service Central de Renseignement
exerçaient sur le journaliste Nzabilinda et sur
moi-même. Après l'audience, j'ai regagné Ruhengeri très vite. A mon arrivée, Lizinde
avait fini sa plaidoirie et Murego terminait la
sienne. P. Zigiranyirazo
et J. Habiyambere avaient sans doute, dans
l'entre-temps, reçu des instructions du Président, car ils cessèrent leur
harcèlement. Après tout, ils avaient obtenu l'essentiel : Lizinde et quelques autres grosses têtes tomberont.
Cependant, de nombreuses personnes seront
relaxées, notamment les commerçants du Sud dont on avait sommé la presse de
dire pis que pendre. » (Christophe
Mfizi)
Shimamungu
rero rero, « le passé
que tu défends ne passe pas du tout ».
Joseph Ngarambe,
26 Nyakanga 2008