LE RWANDA EN 1994 : L’AUTRE INFORMATION


(Grands-Lacs Confidentiel 09/03/2006)

Joe Vialls, un militaire australien à la retraite expose un autre aspect du génocide
rwandais qui, jusqu’à présent, reste inconnu du public. Nous traduisons ci-dessous des
extraits de son article intitulé « American Mind Control Operations in Rwanda
and Iraq ». Cet article est intégralement disponible en Anglais à l’endroit suivant :
(http://www.vials.com/subliminalsuggestion/mindcontrol.html).

Dès janvier 2002, Grands Lacs Confidentiel a informé ses lecteurs sur les ‘progrès’ de la
science maléfique, en particulier, sur les armes climatiques, électromagnétiques,
sismiques. Cette information précisait les aspects artificiellement flagrant dans
l’éruption du Nyiragongo le 17 janvier 2002, lors du raz de marée (tsunami) du 26 janvier
2004 ainsi que lors de l’impossible tremblement de terre dans la région de Kalémie
le 5 décembre 2005. Les armes que nous décrivons aujourd’hui tombent
dans la même catégorie et ce sont les mêmes personnes qui les possèdent, les
utilisent, camouflent leur existence et profitent des crimes selon un plan bien établi.
Ces nouvelles armes découlent de la découverte scientifique que certaines
fréquences agissent sur le cerveau humain et peuvent modifier le comportement des
individus et des foules.

Joe Vialls explique dans son article que les organisateurs du génocide rwandais n’ont pas
seulement préparé l’attentat contre l’avion du Président Habyarimana, ils ont aussi
organisé les tueries massives qui ont eu lieu pendant les trois mois qui ont suivi cet
attentat. Les hutu étaient visés. Des organisations au service des américains se sont
assurées qu’ils soient bien armés et ont envoyé des agitateurs dans la foule dès que
l’avion du Président a été abattu. A ce moment des antennes paraboliques ont
envoyé vers la foule hutu des micro-ondes calibrées pour produire une rage instantanée
et incontrôlable.

Les antennes paraboliques étaient placées sur les rampes de chargement de trois avions
qui ont effectué des centaines de sorties dans les trois mois qui ont suivi l’attentat.

Si cette information est exacte, les équipages des trois avions sont responsables de tous
les massacres qui ont eu lieu au cours des trois mois pendant lesquels ils ont opéré
leurs machines diaboliques. Cela inclut le massacre de tutsi qui n’étaient pas
prévenus et ont été sacrifiés pour que leur mort soit utilisée comme facteur de sympathie,
en faveur des tutsi qui, eux, n’ont pas été sacrifiés. Cela inclut le fait de transformer
des individus normaux en criminels, et par-là même de ruiner leur vie et d’initier le
cercle de la violence qui continue jusqu’à aujourd’hui.

Les équipages des trois avions sont aussi responsables de toutes les conséquences du
‘génocide’ qu’ils ont créé. Cela inclut le crime de qualifier de génocidaire tout un
peuple innocent, et les conséquences de ce fait, en particulier le feu vert que cela a
donné à l’armée rwandaise pour massacrer les hutu au Rwanda et au Congo et
l’indifférence de la Communauté internationale devant ces crimes. Cela inclut tous
les crimes commis par Kagame, un des principaux bénéficiaires de ce faux génocide,
en particulier l’attaque du Congo, les massacres et autres atrocités qui l’accompagnent.

Les chiffres indiquent clairement que les équipages de ces trois avions comptent parmi les
plus grands criminels de tous les temps. Le texte traduit ci-dessous indique que les
membres des équipages étaient parfaitement informés et conscients de leurs
actions et des conséquences qui en découleraient.

Beaucoup de nos lecteurs ne seront pas surpris. Le génocide rwandais est
incompréhensible pour quiconque a confiance dans la nature humaine. Seule l’information
que nous présentons ci-dessous peut réconcilier l’horreur de cette réalité avec la
valeur de l’être humain.

Voici notre traduction du texte que vous pouvez lire en Anglais en cliquant sur
(http://www.vials.com/subliminalsuggestion/mindcontrol.html):

<< En fin d’après midi le 6 aout 1994, une série d’obus a déchiré le fuselage d’un avion
commercial qui volait au dessus du Rwanda. Quelques secondes plus tard l’avion en
flammes explosait en tombant au sol, tuant le Président Habyarimana du Rwanda, le
Président Ntaryamira du Burundi, et la plupart des hauts responsables de leur
gouvernement. Dans cette milliseconde fatale, la structure de commande politique de
l’Afrique centrale a été décapitée, laissant place à l’opération « Crimson Mist »
(brume pourpre), l’expérience de mind control (contrôle de l’esprit) la plus obscène et
meurtrière montée par les Etats-unis d’Amérique contre une nation souveraine. Que
cette opération « Crimson Mist » a été utilisée à nouveau récemment, à une
moindre échelle, en Irak est au-delà de tout doute.

Alors que Habyarimana et ses collègues plongeaient vers la mort, un petit groupe
d’américains, des hommes et des femmes se sont rassemblés dans une grande hutte au
bord d’une piste d’atterrissage discrète à quelques kilomètres de la capitale
rwandaise Kigali, ou se trouvaient leurs trois avions de transport C-130 Hercules non
identifiés. Tous les membres d’équipage avaient des documents falsifiés les
identifiant comme des ‘chercheurs atmosphériques’ employés par une agence américaine
civile authentique, mais ces documents ne serviraient qu’en cas d’urgence si l’un
des avions était forcé de faire un atterrissage imprévu sur un territoire inamical.
Pratiquement, du point de vue de la sécurité, ni ces individus, ni ces trois gros
avions ne se trouvaient en Afrique.

Lorsque la nouvelle du crash présidentiel a été annoncée à la radio VHF, un des avions
Hercules était prêt à décoller discrètement. L’ingénieur de vol vérifia l’attachement
des RATO (Rocket Assiste Takeoff) packs, pendant que les scientifiques faisaient les
derniers ajustements à la grande antenne parabolique à micro-ondes installée sur la
rampe arrière de chargement. C’est cette pièce d’équipement étrange et ésotérique
qui à elle seule allait contribuer directement à la mort de plus d’un million d’africains
au cours des 100 jours à venir. Bien que complètement silencieuse pendant
l’opération cette seule antenne parabolique à micro-ondes avait plus de pouvoir pour tuer

que tout un escadron de canonnières AC-130 Spectre armées de 50 canons Gatling.

Bien que cette opération soit officiellement étiquetée comme étant ‘une expérience’,
aucun de ceux qui étaient présents n’avait de doutes que cette expérience était une
couverture pour une opération abominable. Chaque membre avait été examiné
soigneusement et ré examiné par les services secrets américains pour s’assurer qu’ils
étaient tous à la hauteur et qu’ils étaient philosophiquement dévoués à deux
objectifs. Le premier était le besoin de controler ou d’éliminer les dissidences politiques à
distance à l’aube du 21ième siècle, le second était le besoin d’endiguer ou de
renverser les augmentations massives de la population dans le monde entier, qui
menaçaient de surcharger les ressources existante, en particulier l’eau et la nourriture.
Cela demandait une volonté de commettre des meurtres de masse et tous ceux qui
étaient présents avaient passé ce test critique avec des résultats flamboyants.

Alors que les moteurs de l’avion Hercules démarraient en vrombissant, des agents
américains à Kigali travaillaient avec des fonctionnaires locaux et des membres du service
de sécurité rwandais, renforçant les soupçons du public comme quoi le crash de
l’avion présidentiel était un acte criminel. Poussés par une administration
corrompue, des Hutu ont commencé à aller vers des Tutsi et leur ont jeté des pierres.
Assez innocent au début, bien qu’avec quelques méchants coups de machette. Mais
alors l’avion C-130 Hercules a effectué un passage calculé bien précisément,
directement au dessus des hutu qui avançaient, et ceux-ci sont entrés dans une rage
berserk. Les yeux vitreux, l’humeur de la foule hutu est passée d’une simple colère
à un rage incontrolable, et en quelques minutes, des centaines de morceaux de tutsi
volaient dans les airs.

Ce que l’équipe de Hercules venait d’accomplir est un secret ouvert depuis la fin des
années cinquante, lorsque les chercheurs ont trouvé accidentellement qu’il y a une onde
précise de « contrôle » du cerveau pour chaque chose qu’on fait, et pour chaque
chose qu’on ressent. Le problème à cette époque était que chacune de ces ondes de
contrôle du cerveau (rage, peur, panique, léthargie, vomissements etc…) devait être
transmise avec une précision de trois chiffres décimaux, ou bien elles ne
fonctionnaient pas. Mais avec les années et avec l’avènement des transistors et des
microprocesseurs, l’application opérationnelle de ces ondes de contrôle du cerveau devint
une réalité.

Il est important de remarquer que la ruse meurtrière répétée des centaines de fois par le
C-130 Hercules au Rwanda d’avril à juillet 1994, n’était pas du « mind control »
classique dans le sens ou des gens affirment entendre des messages compliqués dans leur
tête, ou dans le sens ou on craint que la NSA (National Security Agency) ait
l’intention de changer tout le monde en zombies en leur mettant des puces électroniques
dans leur bras ou leur cou. Ce que l’équipe du C-130 faisait, c’est de ‘l’augmentation
électronique’ d’un état préexistant. Rappelez-vous que les agents et le personnel
des services de sécurité devaient d’abord diriger l’attention des hutu vers les tutsi,
provoquer une colère suffisante et s’assurer qu’ils étaient suffisamment armés.
Seulement à ce moment là, le C-130 pouvait commencer son travail avec l’onde
précise de contrôle de la rage, augmentant ainsi le comportement de la foule de
celle de manifestants en colère à celle de maniaques génocidaires incontrôlables.
Sans être classique, il s’agit bien de « mind control » pour la simple raison que des
moyens extérieurs ont été utilisés pour imposer un changement de comportement
incroyable. »